Le sang fume encore
L'obscurantisme mondial brame !
Ah ! Encore ! Le mal bouge !
La variole du singe dérange ;
Covid alarmant dégage ;
La mafia du vaccin rage.
Le lucre sombre en naufrage.
L’Ours plus virulent frappe fort ,
Exhibe ses griffes et crocs nucléaires,
Déstabilise un monde malade,
Cruel, assassin et injuste.
Le Dragon à couleurs voyantes s’éveille,
Jette ses flammes sur l’infirme.
Et une nouvelle ère s'annonce,
Une ère sombre et hargneuse.
Le mal planétaire s’accentue ;
Les cartes jetées, le grogne sourd ;
Un génocide pointe à l’horizon du sang.
Dans cette brumaille affreuse,
Une épidémie est déclarée.
La grotte de santé beugle
En conseiller servile, artificieux.
Leur haut ancêtre en est la cause !
Le mensonge au grand jour proclamé.
La basse-cour à son habitude caquette,
Répète la fable sur tous les tons.
On fait à bon droit la sourde oreille
A ces tonitruantes fariboles ;
Le sang fume encore.
On a marre de cette horde génocidaire,
Marre de ses crieurs débiles,
Marre d'être des souris transgéniques !
Et le viandard reprend sa manège ;
Le butin arrosé de mort l’arrange.
Son visage maculé décourage ;
S’abreuve du malheur des morts.
Son ignoble rapacité ronge ses tripes,
Des tripes gorgée de cadavres.
Le violon reprend la triste sonate,
Étend un noir-obscur compact.
L'exécrable vampire suce l’humain
Et souhaite son grand voyage.
Le sang fume encore.
Abdelghafour Bakkali
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